Par Catherine Morand, journaliste Pendant longtemps, les cinéphiles africains durent se contenter de regarder des films de gangsters ou des séries policières tournées aux USA, en Europe ou en Asie, comme si c’est là-bas seulement que des malfrats sévissaient. Paradoxe : alors que chaque jour, les médias nationaux rendaient compte des actions d’éclat de bandits chevronnés, de règlements de compte entre trafiquants, sur les écrans des cinémas - lorsqu’il y avait encore des salles - étaient projetés des films racontant la vie au village, donnant à voir l’image d’une Afrique...
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