Par Catherine Morand, journaliste A Abidjan, comme dans toutes les grandes métropoles du monde, la circulation est devenue tellement dense, frôlant souvent la paralysie, qu’il s’agit désormais de développer des ruses de Sioux pour arriver à l’heure à son travail ou à un rendez-vous. Embourbés dans les colonnes de voitures qui descendent le matin ou remontent le soir sur le boulevard Latrille ou le boulevard Lagunaire, il faut prendre son mal en patience ; et tromper son ennui en lisant la presse du jour, ou en faisant son shopping auprès des innombrables bana-bana qui squattent...

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