Les otages français qui ont été libérés au Niger sont des employés d’Areva, le géant français du nucléaire, et de Satom, une filiale du groupe Vinci, qui gère la partie logistique de l’extraction de l’uranium dans ce pays. Cette libération, dans laquelle les autorités nigériennes ont pesé de tout leur poids, va-t-elle leur bénéficier, alors qu’elles ont demandé à ce que les contrats qui les lient à Areva soient renégociés ? Rien n’est moins sûr. Le groupe français, présent au Niger depuis 1958, est pourtant très dépendant du Niger, qui a été en 2012, son deuxième...
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